Marcel GONZALEZ, Président, père de Graziella, victime de la commune de ROISSY EN BRIE, Gaulliste par tradition familiale, que les Membes co-fondateurs, Élus (de Gauche) ont tenu à désigner en tant que tel alors qu'à l'origine, il ne proposait que la création d'un Comité de soutien.

Gaulliste par tradition familiale depuis les années 40  (trois frères aînés dans les Maquis, la 2ème DB et la 7ème Armée américaine), mais non encarté, sur le terrain à ROISSY EN BRIE depuis 1991 pour dénoncer les abus de pouvoir dont une Femme peut être victime, telle notamment sa fille, présent à tous les Conseils municipaux de 1992 à 2014.

PARFAITEMENT ÉQUILIBRÉ ET STABLE notamment en ce que marié depuis 68 ans dont 45 années de collaboration professionnelle avec son Épouse après avoir créé leur entreprise -ce qui n’est pas rien – et avoir dû se recycler, « traverser la rue », à l’âge de 32 ans.                                                                                                                      

N'ÉTANT PAS PAR NATURE PROCÉDURIER puisque, Artisan puis Commerçant à MEAUX pendant quarante-cinq années, il n'a, par humanisme, jamais eu recours à la Justice à l'encontre de quiconque, pas même contre des auteurs de vols à l'étalage qu'il avait pourtant appréhendés, ou une employée qui « visitait » régulièrement son portefeuille.

Ex membre de l'Association Espace Centre, à MEAUX, après avoir dirigé une délégation de Commerçants dans le cadre d'une pétition qui a amené la ville de MEAUX à réformer les conditions de stationnement dans le Centre-Ville.

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A DÉJÀ ŒUVRÉ en justice, À TITRE PERSONNEL, en 1982/1983, pour le droit des Femmes, avec le Maire communiste de La Ferté sous Jouarre, Monsieur BEVILACQUA, en contribuant à permettre à une Mère, ex Épouse d’un policier municipal, dans une affaire de violences conjugales de toutes sortes, à conserver le droit de garde de ses trois enfants. 

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EST, À TITRE PERSONNEL, PUIS EN TANT QUE PRÉSIDENT DE L’A.D.D.C., L’AUTEUR DE NOMBREUX TRACTS ET « LETTRES OUVERTES » DÉNONÇANT DES DÉCISIONS INIQUES DE JUSTICE TANT AU TGI DE MELUN QU’À LA COUR D’APPEL DE PARIS, que les Magistrats mis à l’index se sont bien abstenus de poursuivre. À SAVOIR :

TRACT du 25/09/1994 – à titre personnel – dénonçant, le « NON-LIEU INVRAISEMBLABLE pour le directeur du Conservatoire » dont il a bénéficié par la fraude le 20/06/1994

 « REQUÊTE à Monsieur le Procureur de la République à MELUN » du 05/02/2001 sous forme de lettre ouverte  – à titre personnel – cosignée par les trois présidents de groupe d’élus roisséens, intitulée « le Droit des Femmes à la justice et au Travail une nouvelle fois bafoué, foulé aux pieds »

 « LETTRE OUVERTE de l’A.D.D.C. du 05/04/2002 à « Mesdames et Messieurs les Candidats président » concluant « Lequel d’entre vous mettra en chantier cette grande réforme de la Justice dont la nécessité est démontrée de manière incontestable par ce dossier dont nous sommes en charge et qui, d’ailleurs, en raison même de son éloquence, a été utilisé par les médias (Médiation TF1, JT (20 h) Antenne 2, Femme actuelle) puis par les Parlementaires 1992 dans l’élaboration de la loi » (n° 92-1179 du 2 novembre 1992)

TRACT de l’A.D.D.C. du 05/04/2002 intitulé « ONZE ANNÉES DE COUPS TORDUS dans les procédures pénales et civiles ... ou Comment des élus (socialistes) ont fait d’une "histoire simple" une affaire kafkaïenne pour éviter un procès à un "protégé" et fait d’une victime faux coupable, la projetant ainsi dans l’enfer de l’exclusion », dénonçant l’indigence de l’ordonnance de non-lieu du 20/06/1994 et de l’arrêt de la Cour d’Appel du 17 /01/1995 comme de l’arrêt de la Cour de Cassation, et les conséquences des décisions iniques et dénis de justice

À NOTER, DANS CES CIRCONSTANCES OÙ CERTAINS INDIVIDUS SE SACHANT INTOUCHABLES : les articles du Parisien, notamment du 03 /03/1999 « Reuil : ils vivent dans une maison barricadée. Vingt-deux fois visités depuis 1993 » pour aboutir à l’enlèvement et sa mise à feu d’un coffre-fort (207 kg et scellé dans la meulière) « plein de documents de procédures » apportant un éclairage sur le tréfond de cette affaire de mœurs au sein d’une Collectivité Territoriale, qui, fort heureusement, n'étaient que des copies, les originaux étant toujours en notre possession puisque se trouvant alors en un autre lieu...

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NE PEUT ÊTRE TAXÉ D'ÊTRE UN « ADEPTE DE LA THÉORIE DU COMPLOT », comme prétendu par l'un de ses avocats devant la Cour d'Appel qui, le 15/03/2013, sera condamné au remboursement intégral des honoraires perçus pour une procédure qu'il avait conseillée mais curieusement jamais introduite, parce que dénonçant la forfaiture de Magistrats par idéologie politique et/ou de chapelle, en ce que l'un de ses frères ayant été un « vénérable », il connaît sa rigueur morale et son engagement pour les causes humanitaires, mais n'ignore pas cependant qu'il existe aussi des « moutons noirs » parmi les Fils d'Hiram.   En savoir plus, cliquez ici

D'AUTANT QUE, ainsi que rapporté par Le Parisien en 1999 et 2000, le maire socialiste et Franc-maçon, Louis REBOUL, a été « condamné » par le T.G.I. de PARIS, notamment « pour établissement et usage de cinquante-quatre fausses factures entre 1989 et 1992, pour un montant total de 5 342 448 francs », infraction pour laquelle il « avait été blanchi à MELUN en 1994 alors que son complice, le commissaire aux comptes L. S. était en fuite », selon le Parisien à l'époque,  ET QUE, DE PLUS FORT, en 2001, lors d'une conversation amicale, devant une tasse de café à son domicile,  - comme après chaque distribution de tract le mettant en cause - il lui révélait, entre autres confidences, être  « intervenu pour éviter des poursuites judiciaires à l'un des fils d'un auteur de faux témoignage qui l'avait cependant trahi » (vol d'un transistor dans une grande surface)  

« Confidences » (parmi d'autres au président de l'A.D.D.C. et père de sa victime) qui mettent en exergue le bien-fondé de l'attestation du 15/12/1995 de Monsieur AUREILLE, Roisséen et Magistrat hors classe au Tribunal Administratif de Paris (ex Commissaire du Gouvernement) dans laquelle il indiquait, concernant ses interventions « à trois reprises au moins lors des séances du Conseil Municipal » « les considérations subalternes sur la procédure pénale en cours... ôtant sa lucidité au maire »

 

ET PAS DAVANTAGE D'ÊTRE D'EXTRÊME DROITE comme a tenté de le faire accroire l'Avocate socialiste de la mairie et du directeur du Conservatoire au Pénal devant le JEX de MEAUX en 2003, dans le cadre d'un recours de la victime d'un « détournement de pouvoir » avéré, visant la saisie de son piano, donc son outil de travail, à la demande du directeur du Conservatoire, et ce, malgré la Loi, en déclarant très curieusement puisqu'après les évènements précités survenus à son domicile : « Faut voir, chez eux, c'est Fort Chabrol  » 

 

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AYANT, EN TANT QU’ARTISAN PUIS COMMERÇANT à MEAUX, PARTICIPÉ AU BUDGET DE LA JUSTICE, a été contraint en conséquence de ses décisions iniques  - après que « Graziella », victime, a dû brader son logement roisséen en 1996 -  à mettre à la vente, en 2006, sa grande demeure familiale fertoise, puis en 2014, la résidence secondaire construite en 1989 en vue d'y vivre une retraite, et jamais achevée.

C'est donc le fruit de 50 années de labeur, soit au minimum 500 000 € qui ont été sacrifiés, à fonds perdus, dans un contexte « d'entre soi » et de « vase clos » depuis le TGI de MELUN et jusqu'aux Cours d'Appel et de Cassation. 

D'où la stupéfiante réplique de la Présidente de Chambre de la Cour d'Appel à l'issue de l'audience du 14/03/2017 devant laquelle Marcel GONZALEZ a insisté quant à ces décisions iniques de Justice et « forfaitures » de Magistrats et d'Élus de la République « Vous auriez mieux fait de donner cet argent à votre fille » !!!

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ET SURTOUT, EST, À TITRE PERSONNEL, L'AUTEUR DE LA LETTRE OUVERTE du 04/06/1995 (entre autres), qui, selon le maire socialiste, Louis REBOUL, dans le recours en annulation d'élection qu'il a tenté, « a modifié le scrutin en faveur de (s)on adversaire » (de Droite, Lionel COURANT), DANS LEQUEL ETAIENT MIS A L’INDEX SES ADJOINTS - dont Monique JACOBet qui souhaiteront cependant être FONDATEURS  DE L’A.D.D.C. à ses côtés, (et non d’un simple comité de soutien comme proposé par Marcel GONZALEZ), en le désignant président de l’Association, en avril 2001.

 

Monique JACOB, cofondatrice,   En savoir plus, cliquez ici